28 juin 2018 -IAM, News
Erika Mesmer, Client Relationship Manager
Les phases de qualification dans chaque groupe sont désormais terminées. La moitié des équipes a été éliminée de la compétition, alors que l’autre moitié s’est qualifiée pour la phase des éliminations directes. Actuellement, deux choix s’imposent à vous: soit vous vous mêlez à la ferveur populaire de cet évènement mondial, soit vous l’évitez à tout prix! Mais en aucun cas vous ne pouvez échapper au principal sujet de ce début d’été 2018 : «La Coupe du monde de football de la FIFA»!
Chez IAM, nous avons également été emportés par ce tourbillon footballistique; par conséquent, nous avons décidé, dans cette newsletter, de faire un point de comparaison entre l’activité d’un sélectionneur d’une équipe de football et celle d’un manager de portefeuille d’actions.
Bien évidemment vous désirez disposer du «meilleur», même si la définition du «meilleur» est interprétée de manière différente, selon le type sélectionneur. Si vous sélectionnez des joueurs de football représentant un pays, ou si vous sélectionnez des sociétés, votre succès sera basé sur la composition de l’équipe. 11 gardiens ne vont pas vous permettre d’atteindre les objectifs attendus. En effet, vous recherchez différents types de joueurs qui sont complémentaires. Vous souhaitez composer une équipe avec des éléments expérimentés qui garderont leur calme et leur sérénité durant des périodes difficiles et turbulentes, tout en disposant de joyaux capables de créer la surprise et générer une performance spectaculaire, permettant ainsi de faire la différence par rapport aux autres.
Par ailleurs, le team manager et le portfolio manager sont exposés aux nombreuses informations externes non pertinentes. Pour les deux, le flux est tel qu’il est difficile de sélectionner les informations pertinentes. Pour prendre la bonne décision, il est important de prendre du recul, d’analyser la valeur fondamentale des éléments et de trancher selon ses propres convictions.
Bien qu’il y ait beaucoup de similarités entre le football et la gestion active de portefeuille, il y a bien entendu certaines différences. La principale, que nous désirons mettre en avant, est l’horizon temps qui est totalement différent. Participer à la Coupe du monde implique d’être prêt pour une très courte période : chaque match se déroule en 90 minutes et les joueurs doivent être performants durant ce laps de temps. De plus, la Coupe du monde, pour les meilleures équipes, ne se déroule que sur un mois. Nul besoin de préciser que pour la gestion d’un portefeuille l’horizon temps est bien plus long, en particulier chez IAM, qui investit sur le long terme.
Quoiqu’il en soit, peu importe l’équipe que vous supportez durant cette Coupe du monde 2018, nous espérons qu’elle aura autant de succès que notre portefeuille en actions suisses depuis ces 22 dernières années.