01 septembre 2016
IAM Cycling
LE CRI DU CŒUR
De Dries Devenyns. «Evidemment, la seule chose qui compte est la victoire. Mais le fait de pouvoir courir à ce niveau m’apporte aussi une grande source de satisfaction. Au fond de moi, je sais que sur cette étape j’étais le plus fort. Alors, à défaut de gagner, je me réconforte avec ça».
L‘EXPLICATION
De Dries Devenyns encore. «En arrivant sur la Vuelta, mon objectif était clair : gagner une étape. A deux reprises, j’ai été tout proche de l’atteindre. Aujourd’hui encore j’y ai cru. Malheureusement jvai échoué. Mais cela ne veut pas dire que je ne retenterai pas».
L‘ANALYSE
Made by Eddy Seigneur. «Dries Devenyns tourne autours de ce succès depuis quelques temps maintenant. Dans les rues de Bilbao, il était à deux doigts de lever les bras. En guise de consolation, on se dit qu’il reste encore quelques étapes qui lui seront destinées. Nous possédons des coureurs capables de s’imposer sur cette Vuelta. Mathias Frank et Marcel Wyss ont aussi prouvé sur cette douzième étape que l’équipe pouvait compter sur eux ».
LE COUP DE GUEULE
De Mathias Frank. «Une fois encore, les motos qui nous entourent ont favorisé le peloton dans sa chasse à l’homme de tête. Dries Devenyns avait réalisé le coup parfait. Mais le groupe de contre, aidé par le phénomène d’aspiration, l’a repris à seulement un kilomètre de la ligne».
LA PLACE
Présent dans le groupe de contre-attaque, Mathias Frank a su répondre présent dans le final. Le coureur Suisse a coupé la ligne d‘arrivée en dixième position, classé dans le même temps que le vainqueur Jens Keukeleire (Orica BikeExchange).
Race Pictures – BettiniPhoto