13 septembre 2016
IAM Cycling
LA PHRASE
«Je suis heureux de courir à nouveau» a expliqué Stefan Denifl de retour aux affaires après le Tour de Pologne et sa participation aux Jeux Olympiques de Rio. «Les JO était une expérience cool. J’ai été très impressionné de pouvoir voir tout cela de près. Et cela même si la course ne s’est pas déroulé comme prévu en raison d’une chute. À mon retour, une grippe m’a empêché de rouler normalement. Toutefois lors de ces deux dernières semaines, je me suis bien entraîné et tout est rentré dans l’ordre. La confiance est donc là pour le GP de Wallonie.»
LE SOUVENIR
«En 2011, je me suis classé 9e dans cette course. Ce top-10 permet dêtre prêt mentalement» a déclaré l‘Autrichien de 28 ans. «Cette épreuve me plaît et j’ai un bon espoir de réussir quelque chose de bien car je ne suis pas encore parvenu à trouver une contrat pour 2017.»
L‘EXPLICATION
De Thierry Marichal, directeur sportif de IAM Cycling. «Le GP de Wallonie est une course difficile mais nous l’aborderons avec des coureurs venus directement de la Vuelta et des GP cyclistes de Québec et Montréal. Certains ont récemment montré leur bon état de forme. Toutefois nous ne possédons pas un véritable spécialiste de ce genre d’arrivée au sommet de la Citadelle de Namur. Notre objectif sera donc de peser sur la course avant cette ascension finale de manière à pouvoir jouer la gagne.»
LES DIFFICULTES
Sur les 205,5 km reliant Beaufays à Namur, il n‘y a pas moins de six côtes à franchir avant de se retrouver au pied de cette dernière ascension de 3 km en direction de la célèbre Citadelle de Namur. C‘est dire si un sprint massif n‘est de loin pas une certitude puisque le dernier date de 2009 pour ce GP de Wallonie.
LINE-UP Grand Prix de Wallonie
Race Pictures – BettiniPhoto